Le 10 octobre, parrainé par l'Association de promotion du développement du commerce électronique du Guangdong et l'Institut de recherche sur l’Afrique de GDUFS, soutenu par l'Association des entreprises de haute technologie du district de Baiyun, la Chambre de commerce de l'industrie des accessoires pour automobiles du district de Yuexiu et Top Africa Co., Ltd., La Réunion d'introduction sur l'environnement d’investissements tanzaniens s’est tenue avec succès au Centre d’échanges universitaires internationaux de GDUFS. Mbelwa Kairuki, ambassadeur de Tanzanie en Chine, a profondément présenté l'environnement d’investissements tanzaniens pour les entreprises cantonais intéressées à investir en Tanzanie. La Réunion a été présidé par Dr. Zeng Yiran.
M. Shi Zhongbo, président de l'Association de promotion du développement du commerce électronique du Guangdong, a passé en revue l'amitié traditionnelle entre la Chine et l'Afrique et a analysé les nouvelles opportunités et les défis de la coopération sino-africaine à l’ère nouvelle. Il a encouragé des entreprises chinois à étendre leurs activités sur le vaste continent africain via la plateforme de développement du commerce électronique.
M. Liu Jisen, a exprimé ses remerciements à l'ambassadeur pour répondre aux questions des entrepreneurs, à l'association de développement du commerce électronique du Guangdong pour avoir activement mobilisé les entreprises et ainsi qu’à les unités de soutien pour leur coopération.
M. Liu Jisen a également partagé l’entrepreneuriat sous trois aspects sur le thème «L'essor de l'Afrique: opportunités et risques d’investissement». Premièrement, quel genre de continent est l’Afrique ? Deuxièmement, pourquoi devrions-nous choisir l’Afrique ? Troisièmement, comment allons-nous en Afrique ? Du point de vue de l’industrialisation dans différents pays africains, il a analysé que de nombreux pays d’Afrique ne sont pas ce que nous imaginions. Par exemple, la Tanzanie est un pays pacifique plein d’opportunités. Avec plus d'un milliard d’habitants, le potentiel du marché africain est illimité. De l’intérieur, les pressions croissantes de la main-d'œuvre, des coûts fonciers, de la protection de l'environnement, des barrières commerciales obligent les entreprises à «sortir». De l'extérieur, la concurrence sur les marchés européen et américain est féroce, la guerre commerciale sino-américaine s'aggrave, l'orientation de la coopération internationale en matière de capacité de la réforme structurelle de la Chine en matière d’offre est orientée vers l’Afrique. Il a encouragé les entrepreneurs à se rendre sur place en Afrique avec des institutions, puis à juger si l'Afrique, y compris la Tanzanie, est vraiment une terre d’investissement.
M. John, président de la Chambre de commerce tanzanien de Guangzhou, a expliqué ce que les entreprises peuvent faire en Afrique du point de vue de la Chambre de commerce. Il estime que, tout d'abord, pour investir avec un pays, vous devez d'abord apprendre la langue du pays. Deuxièmement, si une seule entreprise se rend dans un pays inconnu, des efforts supplémentaires seront nécessaires pour réussir. Les entrepreneurs devraient être dirigés par la Chambre de commerce ou l’Association pour ouvrir le marché étranger ensemble. Troisièmement, avant d’investir en Afrique, c’est nécessaire d’aller voir en Tanzanie, en Afrique. Quatrièmement, si vous voulez en savoir plus sur l’Afrique et comprendre la Tanzanie, vous devez toujours vous fier à des groupes de think-tank, tels que l'Institut de recherche sur l’Afrique de GDUF. Ils peuvent fournir une étude de faisabilité plus objective pour tout le monde. Cinquièmement, on doit résoudre le problème de pénurie de talents pour la coopération entre Guangdong et Afrique.
M. Guan Zhufan, vice-président de Top Africa Co., Ltd., a prononcé un discours magnifique sur le thème «Les entreprises vont en Afrique». Il a présenté les quatre modules de l’entreprise : Information sur l'Afrique, Enquête sur les entreprises, Analyse de faisabilité, Développement des talents.
Au cours de la session interactive de la réunion, les entrepreneurs présents sont très enthousiastes à poser des questions, telles que l'infrastructure, la fiscalité, les coûts de main-d'œuvre, les coûts d'eau et l’électricité, les contrôles de change, l'ordre public, l'enregistrement des sociétés, la logistique. L’Ambassadeur leur a répondu un par un.
Pendant les trois heures et demie, les participants étaient enthousiastes et ont exprimé l'espoir d'organiser d'autres événements similaires à l’avenir.