Dr. Zhao Ke de l’UNESCO a visité l’IEA
Dans la matinée du 22 mars 2018, Dr. Zhao Ke, directeur adjoint du Centre d’innovation sur l'enseignement supérieur de l’UNESCO, a rendu visite à l'IEA de l'Université des Etudes étrangères du Guangdong et a discuté les perspectives de coopération entre les deux parties. Les assistants de l’IEA étaient le vice-président exécutif Liu Jisen, le directeur exécutif du Centre de recherche en marketing international des marques culturelles chinoises Zeng Yuran, le directeur exécutif du Centre de formation en collaboration des talents de la médecine traditionnelle chinoise de “la Ceinture et la Route” Yang Xiaoyan, et le directeur exécutif du Centre de formation en collaboration des personnels d’affaires de “la Ceinture et la Route” Wang Gang. Monsieur Liu a présidé cette réunion.
Monsieur Liu a d’abord présenté le contexte de la création, l'orientation de la recherche, les travaux principaux et les avantages connexes de l’IEA à Monsieur Zhao. Il a souligné que l’IEA faisait la recherche axée sur la pratique et le marché en mettant l’accent sur les problèmes actuels de la coopération avec les pays africains pour le gouvernement et les entreprises. Il a mentionné que l'IEA a actuellement eu une coopération avec des pays africains et des entreprises ayant les affaires avec l’Afrique dans divers domaines tels que la fabrication, l'agriculture, la recherche scientifique, la médecine traditionnelle chinoise, le matériel éducatif, l'enseignement professionnel et l'assistance médicale. Ils pourraient faire les enquêtes commandés par le gouvernement et les entreprises dans beaucoup de domaines. Il existait les Consulats généraux des 10 pays africains à Guangzhou, alors que l’Université des Etudes étrangères du Guangdong était la seule en Chine du Sud à offrir un enseignement d’une variété de langues. Tous les deux étaient les avantages importants de l’IEA d’aujourd’hui.
Monsieur Zhao a introduit la situation générale du Centre d’innovation sur l’enseignement supérieur de l’UNESCO, établi par le gouvernement municipal de Shenzhen et l’UNESCO. Ils menaient actuellement les activités sous le soutien de l'Université des sciences et technologies du Sud pour répondre aux préoccupations de l'UNESCO en matière d'éducation et de femmes et établir des relations de coopération avec plusieurs pays asiatiques et africains. Cette coopération était principalement concentrée dans le domaine de l'information et de l'informatique et s'appuyait sur les ressources de l'Université des Sciences et Technologies du Sud pour entreprendre des projets de formation des étrangers venus du Ministère du Commerce.
Au cours de communication, les deux parties ont identifié et discuté en profondeur les parties croisées des travaux. Monsieur Liu a souligné qu’en faisant l'enquête, l'IEA a constaté que le taux de mortalité maternelle et néonatale était relativement élevé en Afrique et que la région africaine avait besoin des matériels médicaux et d'une formation de médecin à l’obstétrique. Cela peut avoir une coopération plus approfondie, puisque la femme était une des missions principales de l’UNESCO. En plus, l’IEA a promu la création de “la classe de l’Afrique” dans le Centre de formation de MBA dans l’Université des Etudes étrangères du Guangdong et “l'assistance intellectuelle ” pour laisser les talents africains poursuivre les études et la formation continue en Chine. Cela pourrait approfondir la coopération avec le Centre d’innovation sur l’enseignement supérieur quant à la formation de l’aide extérieure. Monsieur Wang, les spécialistes Song Xing et Bi Xiaohan ont fait quelques observations.
Enfin, Monsieur Zhao a fait un résumé sur l’orientation de la coopération entre les deux parties dans l’avenir. Il a mentionné que nous deux pourraient discuter en profondeur sur la recherche scientifique, la formation du personnel, et les matériels éducatifs. Il a souhaité de coopérer avec les chercheurs français de l’IEA pour améliorer le niveau professionnel actuel de la formation des africains. Les deux parties ont été d’accord que la coopération future apporterait plus d’avantages aux relations sino-africaines.